Elle contribue notamment à culpabiliser davantage les parents. Qui, franchement, n’étaient pas en reste sur ce terrain-là.
L’éducation «positive» –qui consisterait à repenser les relations parent-enfant dans une perspective gagnant-gagnant– est partout: elle inonde la presse parentale, des blogs entiers et des milliers de pages de forums lui sont consacrée, les livres qui y font référence se vendent par poussettes entières –J’ai tout essayé, de la psychothérapeute Isabelle Filliozat s’est vendu par exemple à plus de 62.000 exemplaires–les conférenciers qui s’y réfèrent déplacent des foules. Encore confidentielle il y a 10 ans, elle est devenue aujourd’hui à ce point incontournable que le Conseil de l’Europe la considère comme l’approche éducative la plus à même de respecter les Droits de l’Enfant et a entrepris de diffuser une plaquette pour la populariser…
Un article à lire sur Slate.fr
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.